To Let A Good Thing A Die est le deuxième album de Bruno Major. L'album est une magnifique tapisserie d'histoires entrelacées des récits intemporels de relations humaines, d'amour et de chagrin, et de réflexions existentielles. C'est dans cet esprit que Bruno imprègne son travail d'une perspicacité contemporaine, tant sur le plan sonore que lyrique, qui ancre le disque dans le présent - des récits classiques pour une époque moderne. La profonde connexion des fans de Bruno avec sa musique est enracinée dans sa capacité à faire en sorte que les histoires qu'il raconte soient à la fois personnelles et universelles. Dans le contexte des artistes d'aujourd'hui, il est unique car, même s'il peut traiter de sujets similaires à ceux de certains de ses contemporains, ses compétences d'écrivain, de chanteur et de musicien le placent aux côtés des grands avant lui. Il évoque Rufus Wainwright, Randy Newman, Chet Baker et même D'Angelo.